James n’a pas dopé… il a juste eu le courage de jouer comme un poème en statistiques. Les fans veulent des bombes, mais c’est l’émotion qui triche les chiffres. En France, on ne doute pas du ballon — on doute de notre propre jalousie. Qui a peur de la vérité ? Personne. Mais tout le monde adore un joueur qui ne parle pas… il chuchote en données. Et vous ? Vous aussi, vous lisez entre les lignes… ou vous préférez les fantasmes ?